Les chemins de l'au delà

Les chemins de l'au delà

jeudi 26 février 2015

Discussion avec "Eux" et message sur le Monde

Il y a peu de temps, lors de mes débuts dans la médiumnité et le chanelling, telle une enfant, mille questions me tourmentaient. Voici un extrait de ces questionnements accompagnés des réponses de mes guides :



- M'autoriserez vous ou aurais je la possibilité de discuter avec des défunts de ma famille ou de mes connaissances ? 

"Nous ne pouvons te répondre encore. Tu dois cheminer d'abord avec nous, près de nous. Nous devons poursuivre notre écriture commune avant toute chose. Tu ne dois pas tout vouloir tout de suite, comme une enfant gâtée, tels sont tes propos envers René !" (René, la première âme que j'ai faite passer dans la lumière)

- D'accord, alors je reste scribe de notre écriture commune sur vos sujets. Mais dans la mesure où je ne connais pas trop la direction à prendre, il est certainement préférable que vous m'indiquiez le chemin. 

" Oui , nous t'indiquerons le chemin sois sans crainte. Veux tu commencer alors. 
Reste ainsi et écoute nous sans noter. (ils me demandent de fermer les yeux et de les voir, je ne vois rien au début, puis une toute petite lumière qui s'approche et vient se loger dans mon oeil gauche)
Tu es ainsi comme nous, tes écrivains de lumière. Nous avons à te dire ceci ma chérie. Sois encore patiente. Dans ta tête se bousculent des idées, pas toujours claires et qui nous empêchent profondément d'entrer en toi.
Tu dois être certaine de notre présence pour que nous puissions poursuivre. Non ! tu n'es pas une mauvaise élève ! tu es juste distraite comme sur les bancs de l'école où tu regardais dehors tes rêves de nature. Nous t'avons souvent accompagnée dans ces rêves, avec cette mélancolie qui t'envahissait et cette incompréhension de l'autre. Nous avons ouvert ton cœur par la nature et les animaux. Tu étais triste du regard et du jugement des autres. Tu l'es encore aujourd'hui, vois tu, à cette évocation. Nous avons parcouru ton livre, ton âme si blessée dans cette incompréhension, si malade des autres et si incomprise. Nous avons souvent vu ton désarroi et cette impression de ne pas être dans ton monde. Tu y étais pourtant mais ton esprit vagabondait pour écrire ou lire les écrits des autres qui te rassuraient et te faisaient rêver. 
Nous avons accompagné ces rêveries, et les avons comprises. Mais que pouvions nous y faire quand il te semblait qu'un monde de différences t'éloignait des autres ! Cette évocation te fait encore pleurer, enfant que tu es restée. Il est temps de te dire que dans ce monde de rêves, tu as ta place et que maintenant, tu y es dans ce monde.
Sois confiante, il te faudra gommer cette tristesse infinie qui mouille tes yeux pour qu'apparaisse une Anaïs si belle dans sa vérité retrouvée. 
Ne sois pas triste s'il te plait. Ta vie n'a pas été qu'un enfer, tes jolis et bons moments, nous les avons vus. Tes fautes, tes doutes aussi.
Mais cela a fait et fait de toi une personne si sensible à autrui qu'elle ne veut et ne peut donner du mal et du chagrin simplement parce qu’elle connait le mal que fait la blessure d'autrui. Sèche tes larmes ma chérie. Si tu pleures chaque fois que nous te parlons, nous ne pourrons avancer. 
Tu dois te ressaisir. Tu es pour nous un livre ouvert qui ne se refermera pas. 
Nous aimons cette sensibilité et l'utilisons pour te faire avancer, et nous mêmes, dans nos écrits. Es tu prête à poursuivre ? oui ? 
Voici ce que nous avons à te dire. Sois prête à l'entendre. oui ? 
Voici : notre mission avec toi, si tu le veux est d'arrêter le temps des pleurs et des mensonges. Il faut ouvrir des portes cachées en toi pour libérer le flux des mots cachés et que tu retiens. Ta vérité intérieure, la vraie. Celle que tu caches minutieusement, à double tour.
Cette vérité est le songe des nuits que tu vois mais dont tu ne te souviens pas. 
Reste ainsi à attendre ce songe qui va enfin ouvrir cette porte si lourde, si cadenassée et libérer l'oiseau bleu de tes rêves. Il vole en toi, prisonnier de toi comme un malheureux qui s'ennuie. Reste à l'écouter. Son chant triste t'envahit et te rend triste aussi. 
Ressens ce petit piaf des faubourgs, dans lesquels tu te promenais sans but. 
Une rencontre t'a bouleversée, tu ne t'en souviens déjà plus. Ta vie a été faite de rencontres dont tu ne te souviens plus. Pourquoi ? Pourquoi oublier ces gens qui souvent ont voulu t'aider mais ne t'ont pas comprise. ? Ha.... ce monde entre toi et eux c'est bien cela ? Reste ainsi alors si tu te sens différente, c'est le monde qui viendra à toi, comprends tu ? Nous savons bien que tu ne veux pas le monde mais nous te proposons cette notoriété intérieure. La reconnaissance de Toi. Reste ainsi et regarde le, le monde. 
Pleure devant ce monde si tu le veux, mais pas sur toi. Ta vie mérite mieux que ces pleurs et lamentations. 
Reste ainsi à regarder ce monde, nous t'aiderons à la voir tel qu'il est. Pour cela, nous serons là et tu écriras."


LE MONDE

"Tu le regarderas ce monde. Comme tu le veux les médias, télé tous ceux qui vous mentent et vous manipulent. Les faiseurs de rêves qui transforment le cauchemar en une réalité doucette pour vous la faire digérer.
Sois aussi critique que tu le peux, sans devenir mercenaire d'une lutte acharnée. 
C'est en criant ta vérité que tu comprendras tout ce que l'on te, l'on vous cache au travers des images insipides et ternes d'une terre qui tourne à l'inverse des aiguilles d'une montre pour marquer son désaccord.
Il faut voir ce que vous faites de votre douce terre, si Paradis et maintenant si difficile. Non pas que vous l’eussiez tuée, non.  pas encore tuée, mais étranglée à petit feux, par volutes comme la fumée d'une cigarette qui se consume jusqu’au bout.

Reste à regarder ma chérie, nous mettrons des mots sur ce que tu vois. 
Des maux aussi oui ! (rires)
 Sois certaine de notre compassion à ton égard. Nous aimons tes failles, qui montrent que tu n'es pas une pierre rugueuse et tranchante.
Reste à regarder, à écouter, vois, entend le chuchotement de ce monde à l'agonie qui tente de crier par vos voix et les nôtres qu'il faut enfin cesser cette mascarade. 

La Terre, bénie des Dieux, la terre nourricière, Votre terre, est devenue votre jouet. Celui que vous jetterez quand vous le penserez usé pour aller user ailleurs une autre planète, un autre Univers. 
Sots que vous êtes. 
Vous l'avez en vous ce moyen de vous sauver et de sauver votre terre. 
Votre vie en dépend quoi que vous en disiez.
Vous ! ne restez pas ainsi les bras ballants. Cessez de vous lamenter et prenez en votre sein votre terre pour lui donner de l'air, de l'oxygène. 
Respectez la vie quelle qu'elle soit. Soyez animaux, végétaux vous mêmes pour comprendre et sentir puisque votre cœur d'homme est un puits sans fond. 
Demeurez ainsi spectateur de votre décadence et la terre un jour vous montrera qu'elle aussi à un cœur. 
Le feu la brûlera, comme la sentence ultime de son rayonnement intérieur. 
Réveillez vous  soldats ! avant qu'il ne soit trop tard et marchez ensemble à la rescousse de votre terre nourricière.

Cessez de vous entretuer pour trouver ce qui est juste sous vos pieds : l'eau, la vie, les êtres, minéraux, végétaux. La terre porte tout cela en son sein. 
Soyez créatifs, aimez là cette terre ! chérissez là, respectez là. Elle vous accueille et vous nourri sans jamais un merci de votre part. 
Elle vous offre l'Eden par ses beautés flamboyantes et vous détruisez ce qui vous a enchanté. 

Soyez certains d'une chose : les enfants de la terre sont tous des enfants de Dieu. Pas un seul n'est oublié. Chacun d'entre vous porte la responsabilité de sa mission sur terre. qu'il ait choisi de la détruire ou de la préserver. La sentence de notre Dieu Tout Puissant sera la même pour tous. Amants ou trompeurs, vous avez laissé pourrir les semences qui germaient en vous et qui étaient les herbes qui délivrent du mal. 
Alors ne venez pas vous plaindre maintenant de ce manque d'humanité qui vous entoure. 
Vous restez là, les bras ballants comme des pantins désarticulés  à vous demander pourquoi et comment. mais vous le savez  pourquoi et comment, pauvres hommes, vous le voyez !!
Demeurez ainsi et tout s'écroulera avant que vous ne puissiez faire un geste. 
Restez nos enfants, nous vous en prions. Ecoutez nous il est encore temps d'agir, pour vous, pour nous. 

Ne croyez pas que nous soyons seulement les juges de vos actes. Nous sommes prêts à vous aider, à vous tendre nos mains, mais regardez nous ! écoutez nous enfin pour qu'à l'unisson nous nous guérissions mutuellement. Vous vos blessures, et nous votre âme.

Restez attentifs à nos signaux, ils sont partout, en vous comme ailleurs. 
Ne soyez plus aveugles et sourds, entendez et voyez ce qui crève les yeux. 
Restez nos amis pour l'âme, et nos enfants pour Dieu. 

Merci de votre écoute." 





 Vos dévoués Frères de Lumière. 

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