Les chemins de l'au delà

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lundi 16 mars 2015

Sur l'âme des végétaux - Message de Gaïa

L'arrivée de Gaïa dans mes canalisations s'accompagne toujours d'un sentiment très puissant d'amour. D'un amour maternel. Parfois de la tristesse dans ses réponses mais une telle tendresse.

- Les arbres , les plantes ont ils une âme. Les végétaux les minéraux sont ils l'âme unique de notre terre Mère ? 

" Oui, ils ont ce ressenti de votre amour pour eux. Ils se meurent sans amour comme se meurt votre terre. 
La vie des végétaux est de plus en plus difficile. Leur respiration s’accélère pour trouver la vie. Leurs neurones sont présents et ils souffrent ! Crois nous, ils souffrent. Une main verte les réconforte et les développe mais les mains vertes sont rares et il n'en est que peu qui résistent. Couper un arbre n'est pas un crime s'il est utilisé à bon escient. Couper une forêt et son âme unique est un crime quand le dessein en est de planter ce qui vous nourrira ou pire, vous tuera. 
La vie sur terre permet l'harmonieuse répartition de vos cultures en mon sein, et de mes forêts chéries. 
J'ai mal à entendre craquer mes arbres sous le joug de vos outils de destruction. 
J'ai peur chaque jour pour mes végétaux que vous piétinez sans vergogne que vous pulvérisez sans état d'âme. 
J'ai mal en moi quand vous arrachez mes fleurs si pures et si subtiles. 
J'ai la crainte de ne plus pouvoir les faire pousser tant vous polluez mon sol de vos immondes détritus chimiques. 
Ma seule raison d'être est ma croyance en vous et votre âme de sauveur des animaux et végétaux. Aidez les à survivre dans ce monde que vous égorgez.
Mon âme de terre mère, moi Gaïa, votre abris de lumière, mon âme souffre autant que chacune de mes fleurs. 
Les petits boutons de rose sont vos parfums chimiques. Ma vertu première était de vous les offrir comme cadeau de vie, pas que vous en fassiez de chimiques parfums. 
Pourquoi faites vous cela et ne laissez vous pas la nature et ses parfums vous enchanter, vous envoûter ? 
Vous n'êtes plus éblouis par la magie de la vie végétale ? Vous en faites un marché, et ce qui ne peut se vendre est détruit. 
Mais pourquoi faites vous cela ? L'équilibre était là, j'avais œuvré pour cela et vous me détruisez en piétinant mes douces fleurs d'amour. 
J'aime quand vous les admirez, je déteste quand vous les coupez pour servir vos morts, par exemple, qui n'en ont plus besoin, là où ils sont, ils ont le jardin perpétuel que Dieu cultive.
Pourquoi cela ? Pour votre plaisir égoïste. Et votre argent salit mes racines. Mes arbres ne sont que billets de banque alors qu'ils vous accompagnent parfois depuis des siècles, en cette vie perpétuelle que je leur offre. 
Croyez que ma démarche auprès de vous n'est pas simple. 
Je voudrais tant que vous m'entendiez vous implorer de cesser. Le feu et l'air mélangés me détruisent encore et toujours mais cela n'est rien, rapport à vous. 
Hommes destructeurs parfaits dans votre rôle de savants de la nature. Vous ne savez que ce que les plantes vous disent, et elles ne vous disent pas merci. Non contents de les tuer, vous prenez leur sève pour en faire des colliers, vous percez leur cœur pour en faire des atours, vous semez vos graines en des lieux qui ne peuvent les recevoir, et vous les aidez par des polluants chimiques. 
Mais que croyez vous, Merlins enchanteurs dans ma forêt magique ? Mes petits lutins œuvrent pour préserver mes actions contre les vôtres. Ils redonnent souvent ses droits à la nature mais vous persistez à vouloir tout arracher par vos armes de destruction. 
Pourquoi faites vous cela ? Il n'est pas un arbre qui ne soit ma chair. Ma chair que je vous offre en abondance et que vous consommez en abondance. La pourriture que vous générez dans mes forêts, la voyez vous ?  mes oiseaux sans perchoirs, mes tigres sans perchoirs, mes éléphants sans eau et ma vie intime ainsi détruite. 
Que croyez vous qu'il se passera si vous poursuivez ? Que croyez vous que je vais faire moi, votre terre mère, moi Gaïa. Je vais mourir et vous emporter avec moi dans un tourbillon de braises incandescentes qui lavera l'ensemble de vos péchés et ce que vous m'avez fait subir. 
Je n'aime pas dire cela, et j'ai honte de le dire, mais ma vie est entre vos mains et vos mains doivent s'ouvrir et s'unir pour me préserver. 
Restez mes petits enfants chéris, ceux que je berce la nuit, ceux qui m’accompagnent. Devenez mes fruits, mes fleurs. Sentez moi au matin, rêvez moi la nuit et alors seulement vous comprendrez mon âme blessée par vous seuls, artisans de ma destruction. 
Je vous aime toujours autant, je crois en vous pour mon salut. Aidez moi je vous en supplie."



Votre terre Mère, GAIA

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