Les chemins de l'au delà

Les chemins de l'au delà

dimanche 15 mars 2015

La Religion et l'avortement.

- Narnamidalem, mon Guide, que pensez vous, en tant qu'ancien prêtre, de la religion à l'heure actuelle ? 

"Les hommes ont perdu la foi en Dieu parce qu’ils croient que tout ce qui arrive de mauvais est de la faute à Dieu et se disent que si Dieu est bon, il ne doit pas laisser faire cela.
Dieu est immensément bon oui, et il ne laisse pas faire ce qui lui déplait. Mais ses actions sont contrées par des groupuscules puissants qui annulent ses actes. "

- Quels groupuscules puissants ? 

"Nous t'en avons déjà parlé. Les hommes sont dirigés par des maîtres de l'ombre. Certains hommes sont dirigés et dirigeants. Il œuvrent pour la destruction de l'humanité."

- A plus petit échelle, une famille renie souvent sa croyance en Dieu quand elle perd un être cher (un enfant par exemple). 

"Dieu n'est pas responsable des choix faits par l'incarné. Celui-ci se créé des épreuves, et ces épreuves grandissent son âme et celle de ceux qui les subissent. Il n'est point d'injustice, mais un choix de vie sur terre.

L'interruption de grossesse est un meurtre et non un choix. 

Il faut faire la différence entre une âme qui souhaite s'incarner et à qui on l'interdit par une IVG, et le décès d'un enfant incarné, choix de l'âme elle même.
On ne peut tolérer l'avortement sous aucun motif, y compris si la femme se meurt en couches, car tel était son choix de vie sur terre. On ne peut annuler la décision divine par des actes meurtriers. "

- Mais est ce que l'IVG n'est pas un choix de la personne avant l'incarnation terrestre ? Je m'exprime mal, est ce que l'âme avant de s'incarner n'a pas le projet de se donner comme épreuve une IVG ?

"Non, car en ce cas, l'incarnation lui serait refusée. On ne peut avoir le dessein de tuer avant son incarnation. Cela est inimaginable pour nous.
Sur terre, l'évolution de la vie fait que la personne va prendre ou non cette décision.
Selon son choix, elle aura à rendre des comptes à notre Dieu Tout Puissant qui n’admet pas que l'on tue pour quelque motif que ce soit.
Le refus de donner la vie est un acte de barbarie que l’Église condamne fort justement et qui ne représente pas un choix de liberté pour la femme, mais un choix de barbarie. 

L'amour de l'enfant non né doit exister dès l'instant de sa conception, car ainsi on ne tue point celui que l'on aime. 

Prêtez une âme à ces nouveaux nés in utéro, vous comprendrez alors l'injustice et l'horreur d'un tel acte, tant pour celui qui le prodigue que pour celui qui le reçoit.

Sainte sœur Térésa a dit : donnez moi vos enfants plutôt que de les tuer. Offrez leur la vie sur terre et ils vous remercieront de les avoir laissé vivre. 


Effectivement, en ce si beau discours, Mère Thérésa dit ceci : 

  " Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd'hui, est le crime commis contre l'innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L'Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. » Même si une mère pouvait oublier... Mais aujourd'hui on tue des millions d'enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l'admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l'avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l'enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu'elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l'enfant doit mourir.
      Et ici, je vous demande, au nom de ces petits... car ce fut un enfant à naître qui reconnut la présence de Jésus lorsque Marie vint rendre visite à Elisabeth, sa cousine. Comme nous pouvons le lire dans 1'Evangile, à l'instant où Marie pénétra dans la maison, le petit qui était alors dans le ventre de sa mère tressaillit de joie en reconnaissant le Prince de la Paix.
      C'est pourquoi, aujourd'hui, je vous invite à prendre ici cette forte résolution : nous allons sauver tous les petits enfants, tous les enfants à naître, nous allons leur donner une chance de naître. Et que ferons-nous pour cela ? Nous lutterons contre l'avortement par l'adoption. Le Bon Dieu a déjà si merveilleusement béni le travail que nous avons fait, que nous avons pu sauver des milliers d'enfants. Et des milliers d'enfants ont trouvé un foyer où ils sont aimés. Nous avons apporté tant de joie dans les maisons où il n'y avait pas d'enfant !
      C'est pourquoi, aujourd'hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d'avoir le courage de défendre l'enfant à naître et de donner à l'enfant la possibilité d'aimer et d'être aimé. Et je pense qu'ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. Ici, en Norvège, vous êtes — avec la bénédiction de Dieu — vous êtes assez à l'aise. Mais je suis sûre que dans les familles, dans beaucoup de nos maisons, peut-être que nous n'avons pas faim pour un morceau de pain, mais peut-être qu'il y a quelqu'un dans la famille qui n'est pas désiré, qui n'est pas aimé, qui n'est pas soigné, qui est oublié. Il y a l'amour. L'amour commence à la maison. Un amour, pour être vrai, doit faire mal. (Discours de Mère Térésa lors du Prix Nobel)"

"On ne peut tuer ce qui n'est pas, simplement parce que cela dérange un chemin de vie. Le chemin de vie met des enfants sur vos routes. Prenez les, éduquez les, comme des enfants de Dieu, mais ne les concevez pas si vous devez les tuer.  Il n'y a pas d'"accident", il y a un chemin de vie. 

Il est de multiple façons de ne pas concevoir un enfant, que l'Eglise ne condamne pas. Utilisez les ! Mais quand l'enfant est là, à ses premiers instants, offrez lui la vie et ne brisez pas cette vie pour votre propre confort. 
Il ne peut y avoir d'arguments suffisamment convaincants pour expliquer ce geste devant Dieu. 

La vie doit vivre, la mort ne doit pas œuvrer sous votre main mais celle de Dieu. 

Croyez en cela mes Frères de lumière pour ouvrir à la vie vos futurs enfants de lumière. 

La vie éternelle et non meurtre avant même de respirer. 

Croyez en cela et vous serez amis de Dieu et Frères de lumière."


Vos dévoués Frères de Lumière Divine. 

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